Architectural Acoustics

Our service

 

Missions in acoustics

 

Design stage
DIAG, ESQ, APS, APD, PRO, DCE, ACT

  • Performing diagnostic and initial state measurements
  • Definition study, programming
  • Design study
  • Realization of modelizations and justifying calculation notes
  • Acoustic markings on plans Architect and BIM integration
  • Written documents
  • Analysis of offers and update

Build stage
EXE, VISA, DET, AOR

  • Execution study
  • Business Case Review
  • Site monitoring and implementation of self-monitoring measures
  • Realization of reception measurements

 

Contact our acousticians

The construction faces many acoustic problems that require studies by a qualified acoustician and the implementation of technical solutions adapted to the comfort level coveted as well as future requirements to achieve that they are regulatory, normative, functional or environmental.

acousticien batiment

Our office of study intervenes in the essential and interactive themes to define the acoustics of the building which cover all the state – building structure and envelope, covering, architectural and technical :

  • airborne sound insulation study ;
  • impact sound insulation study ;
  • sound to use ;
  • control of the reverberation and internal acoustics of the premises ;
  • noise control of the technical equipment of a building ;
  • study of the propagation of noise in the environment ;
  • control of construction noise.

Étude d’isolation acoustique au bruit aérien

Notre bureau réalise les études de l’isolation acoustique entre locaux d’un même batiment (entre bureau, entre logements, entre studios de musique…) et l’isolation d’un batiment vis-à-vis des nuisances sonores extérieures (trafics routier, ferroviaire, aérien…).

Les isolements acoustiques DnT,A (en intérieur) et DnT,A,tr (vis-à-vis de l’extérieur) dépendent de la performance acoustique in situ des ouvrages.

La caractérisation en laboratoire de la performance acoustique d’une paroi séparative n’est que rarement suffisante afin de garantir l’isolation minimale requise. Il s’agit des indices d’affaiblissement acoustique RA (en intérieur) et RA,tr (vis-à-vis de l’extérieur).

En effet, outre la performance du séparatif, d’autres éléments dimensionnants doivent être pris en compte :

  • les transmissions latérales favorisées par les constructions filantes légères (façade rideau, faux plafond/faux plancher filants entre bureau…) ;
  • les transmissions parasites comme les problèmes d’interphonie créés par des ouvrages traversants (conduits de plomberie et gaines de ventilation et climatisation), les traversées de parois ou encore les pertes par insertion d’un élément (grille de transfert d’air, coffre de volet roulant, entrée d’air…) ;
  • les mises en œuvre non soignées (mauvais jointoiement, rebouchages et calfeutrements défectueux, raccords des ouvrages non étanches à l’air).

Critères normalisés usuels de l’acousticien :

  • DnT,A (en dB) – respectivement DnT,A,tr (en dB). Si le critère est haut, le local est isolé des espaces mitoyens – ou vis-à-vis de l’extérieur.

Étude d’isolation acoustique au bruit d’impact

La marche, la chute d’objets, le déplacement de mobiliers, de chariots… dans un batiment deviennent de potentielles nuisances sonores dans les locaux mitoyens si les planchers supports et leurs revêtements de sol ne sont pas adaptés. Une grande partie de l’énergie créée par excitation de ces derniers est transmise par voies solidiennes dans le bâti et rayonne dans les espaces environnants.

La mise en œuvre de chapes flottantes, de revêtements avec sous-couche intégrée peut être la réponse à cette problématique à condition d’anticiper les charges admissibles pour les supports et les différents critères d’usure pour les revêtements (Classement UPEC).

Les impacts de pluie sur un ouvrage horizontal ou incliné sont aussi problématiques et peuvent rendre un local impropre à sa destination : salle de travail avec une couverture métallique, local avec verrière…

Le choix en connaissance de cause des éléments constitutifs des couvertures, ou encore l’utilisation appropriée de composants vitrés spécifiques sont autant de sujets particuliers à considérer dans la conception de tels ouvrages.

Critères normalisés usuels de l’acousticien :

  • niveau résiduel au bruit d’impact L’nTw (en dB) et Ln,e,w (en dB) pour les impacts de pluie. Quand le critère est bas, les bruits d’impacts sont atténués.

Sonorité à l’usage

Un revêtement de sol de par sa composition peut être générateur d’un niveau sonore sous l’effet du déplacement de personnes, de véhicules… (revêtements carrelés, crissement de pneus de voitures à la sortie d’un parking). Contrairement à la problématique de bruit d’impact, l’onde acoustique générée se transmet par voie aérienne pouvant ainsi perturber les activités des locaux mitoyens.

Le choix en ce sens des types de revêtements de sol est donc primordial.

Critères normalisés usuels de l’acousticien :

  • exemple de la sonorité à la marche d’impact Ln,e,w (en dB). Un critère élevé signifie que le sol est sonore à la marche.

Maîtrise de l’acoustique interne des locaux

Que ce soit dans les circulations communes d’un ERP, de logements collectifs, dans les locaux de rassemblement (restaurants, centres aquatiques, stades..), les lieux de travail (bureau, salles de réunions, open space, salles de classes…), ou encore dans les salles d’écoute (amphithéâtre, auditorium, studio, conférence,…), l’emploi de traitements spécifiques tels que les matériaux absorbants, réfléchissants voire diffusants est indispensable à l’obtention d’un environnement sonore contrôlé et confortable.

Le choix des matériaux, leur quantité, et leur intégration dans le projet résulte à la fois de préconisations techniques en amont et d’un travail en collaboration directe avec l’architecte et le maître d’ouvrage du projet.

Notre bureau d’étude porte une attention à la géométrie des locaux de travail et d’écoute afin d’éviter une réponse spectrale du local déséquilibrée (modes propres-ondes stationnaires) mais aussi de supprimer les phénomènes d’échos (travail sur les ratios longueur, largeur, hauteur, dé-parallélisation des parois,…).

Critères normalisés usuels de l’acousticien :

  • la durée de réverbération Tr (en s) : un local est dit sec quand sa durée de réverbération est faible. Plus elle est élevée, plus le local est réverbérant ;
  • l’atténuation par doublement de distance A (en dB) pour les grands volumes type salle d’exposition par exemple : pour une atténuation important, le local est sec.

Contrôle du bruit des équipements techniques d’un batiment

Les équipements techniques d’un batiment tels qu’appareils de ventilation et/ou climatisation, sanitaires, plomberies, mais aussi appareils électriques, luminaires, ascenseurs, monte-charges… sont tous de potentielles sources sonores pouvant dégrader l’usage des locaux.

Deux types de nuisances peuvent être distingués :

  • les niveaux de bruit aérien provenant directement des appareils (rayonnement des carcasses des ventilo-convecteurs, niveaux générés par les appareils d’éclairage…) ou indirectement (niveaux de bruit entretenus dans les réseaux de ventilation/climatisation…) ;
  • les niveaux de bruit transmis par voie solidiennes : excitation vibratoire des supports et de l’ensemble des ouvrages liés rigidement aux équipements techniques tournants (groupes frigorifiques, centrales de traitement d’air, groupes électrogènes…).

Le traitement des niveaux de bruit transmis par voies aériennes nécessite une sélection d’équipements optimisée en fonction des critères aérauliques et acoustiques retenus, une isolation maîtrisée (création de zones techniques dédiées, renfort des carcasses des appareils…) et d’un dimensionnement acoustique de l’ensemble des réseaux ventilation/climatisation (intégration de dispositifs atténuateurs, prise en compte des niveaux régénérés par les éléments particuliers au passage de l’air – registres, clapets coupe-feu… – dimensionnement des éléments terminaux en fonction des débits d’air…).

Les niveaux de bruit transmis par voies solidiennes peuvent être traités avec des dispositifs anti-vibratoires permettant de filtrer une grande partie de l’énergie transmise au support (dispositifs telles que boîtes à ressorts, plots en élastomère, manchons souples, suspentes souples…)

Critères normalisés usuels :

  • niveau de bruit normalisé LnAT en dB(A). Si le LnAT est élevé, les niveaux de bruits des installations techniques en fonctionnement sont perceptibles voire gênants.

Étude de la propagation du bruit dans l’environnement

Le fonctionnement des installations techniques d’un batiment peut être à l’origine de nuisances sonores chez les riverains : par exemple fonctionnement continu de groupes frigorifiques, de centrales de traitements d’airs… installés en terrasse technique.

Il est ainsi essentiel de prévoir, en fonction de la sélection des équipements retenus, des solutions de réduction de bruit afin de respecter la réglementation en vigueur concernant les bruits de voisinage.

Ces solutions se traduisent, en outre d’une sélection contrôlée des matériels, par la mise en œuvre de dispositifs atténuateurs, de renforts tels que capotages mais aussi d’écrans acoustiques.

Critères normalisés usuels de l’acousticien :

  • niveau de pression acoustique continu équivalent pondéré A LAeq et Leq niveau de pression acoustique continu équivalent par bandes d’octaves et/ou de tiers d’octaves. Plus les niveaux sont élevés, puis la nuisance chez les tiers est importante.

Contrôle des bruits de chantier

Les niveaux sonores et vibratoires générés par les activités d’un chantier peuvent s’avérer problématiques pour les riverains.

La mise en place d’un système de surveillance de chantier (monitoring) permet une quantification des niveaux sonores et vibratoires à l’intérieur du chantier et éventuellement chez les tiers pendant toute la durée du chantier.

Ce système constitue un outil de premier plan pour la discussion entre les différents partis concernés (établissement de règles, plannings adaptés…).

Pour en savoir plus sur ce thème : surveillance des bruits de chantier